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Quelle place pour la politique du logement face à la dissolution de l'assemblée nationale ?

Les impacts de la dissolution sont inéluctables et concernent plusieurs mesures sur lesquelles la FNAIM travaille depuis des mois : rénovation énergétique, rééquilibrage fiscal du marché locatif, portabilité des prêts, toutes sont suspendues jusqu'à la reprise des travaux parlementaires.

Les 577 députés sont donc remerciés, laissant le champ libre aux futurs parlementaires pour reprendre l'ensemble de ces sujets et apporter, de meilleures réponses.

En attendant la campagne pour les élections législatives bat son plein avec son lot de promesses concernant le logement. 

Lors de sa conférence de presse, le Président de la République a fait son "mea culpa" sur l'accès au logement des jeunes, jugé "trop tardif" selon Loïc Cantin, président fédéral de la FNAIM.

 

En outre, le parti de la Majorité propose d'exonérer de frais de notaire les primo-accédants "de la classe moyenne" pour l'achat d'un logement de 250 000 euros maximum. "En soi, la proposition est séduisante mais il n'est jamais certain que les aides à l'achat profitent réellement à l'acquéreur. Le vendeur pourrait avoir tendance à reporter l'économie réalisée sur les frais de notaire en augmentant son prix de vente" a réagi Loïc Cantin dans les colonnes des Echos.

 

Le Rassemblement National souhaite, entre autres, assouplir la réglementation sur les DPE et transformer l'impôt sur la fortune immobilière en impôt sur la fortune financière avec des taux similaires.

 

Enfin, le Nouveau Front Populaire propose la mise en place d'une garantie universelle des loyers pour sécuriser à la fois les propriétaires et les locataires, ainsi que la suppression de la loi Kasbarian portant sur la protection des logements contre les occupations illicites.

 

Source FNAIM